La céramique impressionniste : couleurs et vibrations

L'impressionnisme à travers les arts
Par Camille Nicole

Marie Bracquemond (céramiste), Manufacture Haviland et Cie (éditeur), Vase, entre 1872 et 1881, terre cuite, émail, 32 x 25 cm, Paris, Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris. Source : Paris Musées / Petit Palais, CC0.

Vase émaillé à décor de tête féminine et à décor floral
Marie Bracquemond (céramiste), Manufacture Haviland et Cie (éditeur), Vase, entre 1872 et 1881, terre cuite, émail, 32 x 25 cm, Paris, Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris. Source : Paris Musées / Petit Palais, CC0.

Le qualificatif « impressionniste » a eu bien des définitions, bien des emplois dans tous les domaines artistiques, que ce soit en peinture, en sculpture et même en musique. Des émaux d’Alfred Meyer ayant été présentés lors de la première exposition impressionniste en 1874, il peut être tentant de rapprocher impressionnisme et céramique. Mais en y regardant de plus près, utiliser les deux mots dans la même expression est une idée de la fin du XXe siècle, qui a priori ne se justifie pas.

François Laurin, Vase avec geai bleu, vers 1880, terre cuite émaillée, 39,7 x 27,9 cm, New York, The Metropolitan Museum of Art, Robert A. Ellison Jr. Collection, Gift of Robert A. Ellison Jr., 2013. Source : The Metropolitan Museum, Public Domain.

Au commencement était le verbe

Le terme de « céramique impressionniste » est apparu à l’occasion d’une exposition entièrement dédiée à cette technique, organisée en 1974 par Jean d’Albis et intitulée Céramique impressionniste : l’atelier Haviland de Paris-Auteuil, 1873-1882 [1]. L’année 1974 marquait le centenaire de la première exposition impressionniste dans l’ancien atelier du photographe Nadar. Cet anniversaire semblait être une excellente opportunité pour faire connaître un procédé tombé dans l’oubli depuis presque un siècle.
Du point de vue de la chronologie, il semble difficile de relier le décor céramique et le courant impressionniste puisqu’aucun critique, ni aucun ouvrage de l’époque ne fait mention de ce lien. Il existe pourtant bel et bien des liens entre la céramique et les mouvements picturaux majeurs du xixe siècle, à l’instar de l’École de Barbizon et l’impressionnisme, ainsi que l’ont montré l’ouvrage de Marine Kisiel La peinture impressionniste et la décoration (1870-1895) ainsi qu’une exposition au musée de l’Orangerie en 2022 [2]. Ces travaux font allusion au décor à la barbotine colorée et montrent qu’il est bel et bien possible d’apporter des éclaircissements sur cette relation, d’un point de vue analytique et stylistique. C’est ce que cet article tend à explorer.
Le possible rapprochement entre impressionnisme et céramique se fonde essentiellement sur un procédé, « le décor à barbotine colorée », que nous allons ici tenter de définir.

Vase de type vase gourde, au décor impressionniste et japonisant

Jules-Auguste Habert-Dys, Manufacture Haviland et Cie, Vase gourde, vers 1878, terre cuite émaillée, 28 x 24,5 x 9,5cm, Baltimore, The Walters Art Museum. Source : The Walters Art Museum, CC0.

Barbotine ou barbotine colorée ?

La barbotine est « une pâte sous forme liquide » [3], blanche ou colorée, qui sert d’engobe et que l’on applique « en couche mince sur des pièces crues [non cuites] en pâte généralement plus grossière » [4]. Il faut ensuite ajouter des oxydes métalliques colorés à la préparation. Ainsi, le cobalt donnera du bleu, le manganèse donnera du violet, l’antimoine donnera du jaune, etc. L’avantage de cette barbotine est la simplicité de son application. Sa texture liquide permet l’utilisation d’un pinceau ou d’un couteau, qui déposent la couleur sur la pièce comme on le ferait sur une toile.
On la confond très souvent avec un autre ornement qui porte le même nom, mais qui consiste cette fois à la fixation de motifs en reliefs sur la pièce, réalisés à l’aide de cette pâte de barbotine. Il est souvent arrivé qu’une même pièce porte ces deux décors.

Plat circulaire au décor de nénuphar

Mary Louise McLaughlin (décoratrice), Manufacture Frederik Dallas Hamilton Road Pottery (Cincinnati), Plat circulaire, 1879, terre cuite émaillée, d.49,2 cm, Cincinnati Art Museum. Source : Cincinnati Art Museum.

Une technique aux nombreuses applications

C’est en 1871 que le céramiste Ernest Chaplet, travaillant à la faïencerie de François Laurin à Bourg-la-Reine, met au point ce procédé du décor à la barbotine colorée.

« Cette terre colorée était employée à l’eau et permettait à l’artiste de revenir autant de fois qu’il le voulait et empâter sa pièce comme on empâte une toile, (…). Ensuite on cuisait à un premier feu puis on trempait la pièce cuite dans une couverte transparente, […] » [5].

En 1874, l’homme d’affaires Charles Haviland, propriétaire de la manufacture Haviland à Limoges avec son frère Théodore, rachète le procédé à Laurin. Grâce à Félix Bracquemond, à qui il confie la direction artistique d’un atelier situé dans le quartier d’Auteuil, la technique est améliorée, la gamme de couleurs est élargie et mieux équilibrée. Bracquemond fait venir des artistes-décorateurs tels que Jules Habert-Dys et ses décors floraux, ou encore Philibert-Léon Couturier et ses scènes de basses-cours et avec eux, il amène la barbotine colorée à son niveau de perfectionnement le plus abouti. L’épouse de Félix Bracquemond, Marie, s’est également pliée à l’exercice en réalisant des pièces aux qualités admirables. Si les critiques de l’époque sont unanimes quant à la qualité plastique et la diversité des décors que propose l’atelier d’Auteuil de la Manufacture Havilland, beaucoup d’autres centres de production ont contribué au succès du procédé. On citera l’atelier de Louis-Eugène Schopin à Montigny-sur-Loing, celui d’Aristide Bézard et Émile Mousseux à Marlotte, d’Édouard Gille à Paris, de Dominique Grenet à Gien. Si ces derniers ont fait de la barbotine colorée un des décors principaux de leur catalogue, d’autres l’ont employée plus brièvement, comme à Longwy et Sarreguemines. Un véritable engouement pour cette technique se crée. On parle alors de « barbotinomania » [6], dont l’intensité n’a d’égal que son caractère éphémère. Ce phénomène s’exporte aussi outre-Atlantique, notamment à Cincinnati dans la fabrique de Mary Louise McLaughlin et dans la Manufacture Rookwood fondée par Maria Longworth Storer.
Décor sur vase, jardinière, cache-pot, pied de lampe, plat circulaire ou rectangulaire, la barbotine colorée offre un éventail infini de possibilités et de supports, parfois associée à des motifs en reliefs, à l’instar de ceux du sculpteur Jean-Paul Aubé pour Haviland.

jardinière au décor floral et avec une figure féminine

Jean-Paul Aubé, Manufacture Haviland et Cie, Jardinière, 1878, terre cuite émaillée, 32,5 x 40 cm, Paris, musée des Arts Décoratifs. Source : Les Arts Décoratifs, Paris/Jean Tholance. Tous droits réservés.

Vase émaillé à décor de tête féminine et à décor floral

Marie Bracquemond (céramiste), Manufacture Haviland et Cie (éditeur), Vase, entre 1872 et 1881, terre cuite, émail, 32 x 25 cm, Paris, Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris. Source : Paris Musées / Petit Palais, CC0.

vase en terre cuite émaillée au décor de roses

Jean Cachier (décorateur), Manufacture Haviland et Cie, Vase, vers 1875, terre cuite émaillée, H. 24,13 cm, collection particulière. Source : Rago Wright / Toomey& Co.

La barbotine colorée et l’impressionnisme

Le point commun le plus évident entre la barbotine colorée et l’impressionnisme est la technique elle-même. La barbotine permet à l’artiste-décorateur de laisser des empâtements, qui donnent du volume, du relief au sujet représenté. Plus encore, la barbotine, après la cuisson de l’émail, révèle des couleurs qui se dévoilent dans une atmosphère floue et lumineuse, à la manière de certains tableaux impressionnistes.

« La lumière est un des éléments essentiels de la composition et sa vibration est rendue par la juxtaposition de touches de couleurs pures, par laquelle on obtient des dégradés savants » [7].

Outre la couleur et le relief, le rapprochement entre la barbotine colorée et l’impressionnisme se fonde sur le choix des sujets. Une grande partie des pièces, quels que soient les centres de production, représentent des paysages. C’est le cas des créations d’Auguste Lepère, qui a travaillé pour la manufacture de François Laurin à Bourg-la-Reine et qui a bien connu Félix Bracquemond et Edgar Degas. La lumière qui passe à travers les feuilles des arbres, les barques au bord de l’eau et le paysage qui se déploie sur l’ensemble de la pièce, sont autant d’éléments que l’on retrouve dans les œuvres impressionnistes, à l’instar des Pêcheurs étendant leurs filets d’Alfred Sisley (1872). En outre, l’eau fait partie intégrante des thèmes abordés par les artistes-décorateurs. La juxtaposition des couleurs rendue facile par la texture liquide de la barbotine permet de jouer avec les reflets et les ombres. Enfin, les compositions florales sont tout à fait à rapprocher des œuvres impressionnistes. On pensera notamment aux roses d’un vase de Jean Cachier pour l’atelier de Félix Bracquemond de la Manufacture Haviland, qui rappellent les empâtements de celles de Camille Pissarro dans son huile sur toile Roses mousseuses (vers 1890). Pour beaucoup, les fleurs ne sont pas rangées avec ordre, mais se déploient sur l’ensemble du plat, en toute liberté, nous offrant des coloris chatoyants et variés. La spontanéité de l’exécution, qui est d’abord due à la technique en elle-même, se voit aussi dans la rapidité des touches. L’effet impressionniste est renforcé par « la migration des oxydes métalliques dans la glaçure au cours de la dernière cuisson » [8]. Le fond se lie à cet ensemble vif et effervescent.

Enfin, les exemples de Félix et Marie Bracquemond, d’Edgar Degas, qui a dessiné un décor pour Havilland et même de Paul Gauguin, dont nous connaissons le désir de maîtriser la technique de la céramique auprès d’Ernest Chaplet dans son atelier rue Blomet à partir de 1886, grâce à des lettres adressées à son épouse Mette, attestent la pertinence de ce rapprochement.
Néanmoins ces comparaisons restent circonstanciées et le motif du paysage, certes largement adopté par les impressionnistes, ne leur est pas exclusif. D’autres courants artistiques qui ont évolué peu de temps ou pendant l’existence de la barbotine colorée l’ont aussi pratiqué.

Vase décoré d'une seine de pêche au bord de la Seine

Auguste Lepère, Vase, Pêcheur au bord de la Seine à Saint-Denis, 1876, terre cuite émaillée, H. 50 cm, collection particulière. Source : Bonhams.

Bouquet de roses dans un vase

Auguste Renoir, Roses mousseuses, vers 1890, huile sur toile, 35,5 x 27 cm, Paris, musée d'Orsay. Source : RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski.

scène d'auberge, trois hommes attablés et une serveuse

Auguste Renoir, À l'auberge de la mère Antony, 1866, huile sur toile, 194 x 131 cm, Stockholm, Nationalmuseum. Source : Nationalmuseum.

De Barbizon à Marlotte

Ces courants peuvent alors fonctionner comme vecteurs du lien indirect avec l’impressionnisme, comme des intermédiaires. Les peintres de l’École de Barbizon ont côtoyé les mêmes groupes et arpenté les mêmes terres autour de Marlotte que certains artistes-décorateurs tels qu’Octave Saunier et Abel Orry. Les barbotines colorées entretiennent un rapport fort avec cette école par le sujet, celui de la nature, et son traitement. Si certains exemples font ressortir le caractère vibrant de la nature, les traits de beaucoup d’autres pièces se font plus précis, plus définis. Le flou laisse place à la limite des contours, la finesse des touches. Le village de Marlotte, tout comme celui de Barbizon, se situe près de la forêt de Fontainebleau. Un centre artistique composé de peintres, d’écrivains, de poètes, d’hommes de lettres, de critiques d’art, etc. se réunissent à l’auberge de la mère Antony, construite en 1850. Les impressionnistes, dont Auguste Renoir, qui a choisi celle-ci comme sujet de l’un de ses tableaux, et Alfred Sisley s’y retrouvent également.
Le village, ne comptant à l’origine que 900 à 1200 habitants, voit sa population doubler lorsqu’arrivent tous ces artistes. On assiste alors au même phénomène que pour Barbizon. Les peintres sortent de leur atelier pour venir peindre sur le motif, en plein air. D’ailleurs, certains peintres de l’École de Barbizon ont séjourné à Marlotte, notamment Jean-Baptiste Camille Corot dès 1822. Marlotte favorise les échanges et l’effervescence artistique. Il ne fait aucun doute que les artistes décorateurs ont trouvé au contact des peintres de Barbizon de passage à Marlotte des sources d’inspiration inépuisables. Alexandre Defaux par exemple, qui a travaillé à Montigny-sur-Loing, a été l’élève de Jean-Baptiste Camille Corot, lui-même résidant de Marlotte aux côtés de Caruelle d’Aligny. L’arbre est un élément central, aussi bien pour les peintres de Barbizon que pour les décorateurs de barbotines colorées. Il prend une place importante dans la composition, mais laisse aussi passer la lumière et change d’aspect selon les saisons, arborant tantôt une toison bien garnie, tantôt une silhouette sans aucun artifice.

Vase décoré d'un oiseau

Charles Midoux, Manufacture Haviland et Cie, Vase billette, vers 1878, terre cuite émaillée, 21,1 x 12 x 5,5 cm, Paris, musée d'Orsay. Source : RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Gérard Blot.

Japonisme ou impressionnisme

Les barbotines colorées offrent donc un répertoire varié, rendu possible par l’individualité des styles de chaque centre de production, mais également des artistes-décorateurs qui ont su s’imprégner des modes de leur époque. Le japonisme, redécouverte de l’art japonais en Occident à la fin du xixe siècle, est une de celles-ci et constitue pour les décorateurs de barbotines et les peintres impressionnistes une référence commune. Certains artistes sont allés puiser leurs sources d’inspiration dans ce phénomène culturel, à la fois dans la composition et les motifs. Félix Bracquemond en est un exemple, ayant été l’un des premiers à avoir redécouvert la Manga d’Hokusai. Plusieurs de ses œuvres décorées à la barbotine colorée attestent de cette influence. Charles Midoux, par ses végétaux et oiseaux aux contours dorés sur fond brun, nous transporte lui aussi au Japon et nous donne l’impression d’admirer une estampe.

Vibration, empâtements et coloris sont les trois termes qui se dégagent de ces comparaisons. Si ceux-ci sont évidemment associés au mouvement impressionniste, il en est de même pour certaines pièces au décor à la barbotine colorée. Le parallèle entre cette technique de décoration céramique et l’impressionnisme peut être ainsi dressé, bien qu’il ne faille pas oublier ses liens avec d’autres courants artistiques de l’époque. Son succès, aussi intense qu’éphémère, témoigne de l’effervescence artistique qui s’est opérée à la fin du xixe siècle et des interactions qui ont pu avoir lieu entre artistes, chefs d’atelier et décorateurs.

[1] Coll., Jean d’Albis, Laurens d’Albis, Jean-Paul Bouillon, C. Romanet, Céramique impressionniste : l’atelier Haviland de Paris-Auteuil, 1873-1882 (catalogue d’exposition : Paris, 1974/1975), Paris, Bibliothèque Forney, 1974.
[2] Coll., Sylvie Patry, Anne Robbins, Le décor impressionniste : aux sources des nymphéas (catalogue d’exposition : Paris, 2022), Vanves, Hazan, 2022.
[3] Michèle-Cécile Gilliard, « Gien à l’heure impressionniste », L’Estampille/L’Objet d’art, 1995, p.20.
[4] Ibid.
[5] Extrait d’une lettre d’Ernest Chaplet à Roger Marx du 7 mai 1901, cité dans Jean d’Albis, « La céramique impressionniste à l’atelier de Paris-Auteuil (1873-1885) », Cahiers de la céramique, du verre et des arts du feu, n°41, 1968, p.36.
[6] Florence Siltine, « “Barbotinomania” : la mode du décor “impressionniste” sur céramique », dans Audrey Gay-Mazuel, Émaux atmosphériques : la céramique « impressionniste » (catalogue d’exposition : Rouen, 2010), Paris, N. Chaudun, 2010, p.20.
[7] Jean d’Albis, « La céramique impressionniste. L’atelier Haviland d’Auteuil et son influence », L’œil, n°223, 1974, p.51.
[8] Pierre-Olivier Fanica, Gérard Boué, Céramiques impressionnistes et grès art nouveau : Montigny-sur-Loing et Marlotte, 1872-1958, Paris, Massin, 2005, p.25.

Pour citer cet article

Camille Nicole, « La céramique impressionniste : couleurs et vibrations », Impressionnisme.s [en ligne], mis en ligne le 03 Nov 2024 , consulté le 10 Feb 2025. URL: https://impressionnismes.fr/definition/ceramique-impressionniste/

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François Laurin, Vase avec geai bleu, vers 1880, terre cuite émaillée, 39,7 x 27,9 cm, New York, The Metropolitan Museum of Art, Robert A. Ellison Jr. Collection, Gift of Robert A. Ellison Jr., 2013. Source : The Metropolitan Museum, Public Domain.
Jules-Auguste Habert-Dys, Manufacture Haviland et Cie, Vase gourde, vers 1878, terre cuite émaillée, 28 x 24,5 x 9,5cm, Baltimore, The Walters Art Museum. Source : The Walters Art Museum, CC0.
Mary Louise McLaughlin (décoratrice), Manufacture Frederik Dallas Hamilton Road Pottery (Cincinnati), Plat circulaire, 1879, terre cuite émaillée, d.49,2 cm, Cincinnati Art Museum. Source : Cincinnati Art Museum.
Jean-Paul Aubé, Manufacture Haviland et Cie, Jardinière, 1878, terre cuite émaillée, 32,5 x 40 cm, Paris, musée des Arts Décoratifs. Source : Les Arts Décoratifs, Paris/Jean Tholance. Tous droits réservés.
Marie Bracquemond (céramiste), Manufacture Haviland et Cie (éditeur), Vase, entre 1872 et 1881, terre cuite, émail, 32 x 25 cm, Paris, Petit Palais, musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris. Source : Paris Musées / Petit Palais, CC0.
Jean Cachier (décorateur), Manufacture Haviland et Cie, Vase, vers 1875, terre cuite émaillée, H. 24,13 cm, collection particulière. Source : Rago Wright / Toomey& Co.
Auguste Lepère, Vase, Pêcheur au bord de la Seine à Saint-Denis, 1876, terre cuite émaillée, H. 50 cm, collection particulière. Source : Bonhams.
Auguste Renoir, Roses mousseuses, vers 1890, huile sur toile, 35,5 x 27 cm, Paris, musée d'Orsay. Source : RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski.
Auguste Renoir, À l'auberge de la mère Antony, 1866, huile sur toile, 194 x 131 cm, Stockholm, Nationalmuseum. Source : Nationalmuseum.
Charles Midoux, Manufacture Haviland et Cie, Vase billette, vers 1878, terre cuite émaillée, 21,1 x 12 x 5,5 cm, Paris, musée d'Orsay. Source : RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Gérard Blot.