Pré-impressionnisme
Camille Pissarro, La Côte du Jallais, Pontoise, 1867, huile sur toile, 87 x 114,9 cm, New York, The Metropolitan Museum of Art, Bequest of William Church Osborn. Source : The Metropolitan Museum, Public Domain.


Gaston Poulain, « Le pré-impressionnisme », Formes, novembre 1931, 19, p. 155. Source : Bibliothèque de l’INHA, collection Jacques Doucet / Gallica.
Le terme « pré-impressionnisme » est inventé par Gaston Poulain en 1931, bien après que les différentes réalités qu’il désigne se sont achevées. Son acception la plus généralisée aujourd’hui se rapporte à un ensemble d’œuvres réalisées entre les années 1840 et 1870 par des peintres paysagistes, dans lesquelles on peut reconnaître certaines caractéristiques qui sont aussi celles des œuvres impressionnistes plus tardives.
À ce titre, des peintres comme Eugène Boudin, Camille Corot, Charles-François Daubigny, Paul Huet ou Johan Barthold Jongkind sont dits pré-impressionnistes pour leur méthode de travail en plein air, leur esthétique de l’esquisse ou leurs recherches sur le rendu des effets lumineux et atmosphériques. L’expression est aussi utilisée pour désigner les années de rencontre et de formation du noyau impressionniste que forment Frédéric Bazille, Claude Monet, Auguste Renoir et Alfred Sisley dans les années 1860. Elle tend également à envelopper une période plus ou moins longue de la peinture du XIXe siècle avant la première exposition dite impressionniste en 1874.
Le préfixe « pré- » indique l’antériorité chronologique et instaure un lien téléologique par rapport à la finalité que serait la période impressionniste. L’évolution des significations que revêt l’expression ainsi que les autres noms qui qualifient cet avant-impressionnisme révèlent des aspects de l’histoire du goût et de l’historiographie liées au mouvement et à sa position au sein de l’histoire de l’art. Lorsque l’appellation apparaît, les origines du mouvement forment un champ privilégié des recherches et de la diffusion de l’impressionnisme. Le terme définit d’abord cette naissance du mouvement avant de s’étendre à d’autres tendances picturales, en lien avec des approches révisionnistes et une attention nouvelle dirigée vers la période du Second Empire et ses mouvements et artistes méconnus. Ces diverses acceptions accompagnent ainsi des changements de paradigmes méthodologiques tout en trahissant un embarras définitionnel chronique concernant l’histoire de la peinture du XIXe siècle.

Johan Barthold Jongkind, Entrée du Port de Honfleur, 1863-1864, huile sur toile, H. 42,2 ; L. 91,5 cm, Chicago, The Art Institute of Chicago, Louise B. and Frank H. Woods Purchase Fund. Source : The Art Institute, CC0 Public Domain.

Auguste Renoir, Frédéric Bazille, 1867, huile sur toile, 105 x 73,5 cm, Paris, musée d’Orsay, en dépôt à Montpellier, Musée Fabre. Source : RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Patrice Schmidt.
Inventer le pré-impressionnisme pour souligner la cohérence d’une histoire de « l’art français »
Un an après avoir inventé l’expression « pré-impressionnisme » dans son article de 1931 [1], Gaston Poulain, critique et spécialiste de Frédéric Bazille, choisit à nouveau cette appellation dans la première monographie consacrée au peintre |2]. Il y définit le pré-impressionnisme comme la « période si caractéristique et si féconde [3] » où se constitue le groupe impressionniste dans les années 1860. Par rapport à l’impressionnisme, ce style se singularise par une prééminence du dessin, une sécheresse et une netteté de la touche selon Gaston Poulain. Ces caractéristiques permettent de renforcer le lien entre les esthétiques du réalisme et de l’impressionnisme, le premier constituant alors l’un des fondements identitaires de la narration traditionnelle de l’évolution d’un « art français [4] ».

Claude Monet, Femmes au jardin, vers 1866, huile sur toile, 285 x 234,5 cm, Paris, musée d’Orsay. Source : RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / Hervé Lewandowski.
Après la mort d’Edgar Degas (1917) et d’Auguste Renoir (1919), les historiens de l’art et les conservateurs portent un intérêt nouveau pour les origines du mouvement et les circonstances de son avènement. En 1920, les Femmes au jardin de Claude Monet [5], œuvre emblématique de la naissance de l’impressionnisme, est acquise par Robert Rey pour le Musée du Luxembourg, où est alors exposée la collection que Gustave Caillebotte a léguée à l’État français. L’enseignement que délivre ce même conservateur à l’École du Louvre en 1926 consolide les débuts du mouvement comme sujet d’étude historique, ses cours et ses articles mettant en lumière un travail archivistique sur les peintres et leurs formations artistiques [6]. Parallèlement, de grandes synthèses intègrent l’impressionnisme à un récit cohérent et linéaire de l’histoire de la peinture en France au XIXe siècle [7].
Des expositions thématiques rejoignent aussi cette ambition de conforter la place du mouvement au sein d’une généalogie française de l’art et reflètent cet intérêt pour les origines de l’impressionnisme. C’est notamment le cas de l’exposition Naissance de l’Impressionnisme en 1937 à la galerie Beaux-Arts, à Paris [8]. Dans ces manifestations, les débuts de l’impressionnisme n’incarnent pas une rupture mais bien la liaison parfaite entre l’art des XIXe et XXe siècles, une étape de l’histoire de l’art français.
En 1950, à la Royal Academy of Arts de Londres, Bernard Dorival, conservateur en chef du Musée national d’art moderne, fait jouer au pré-impressionnisme ce même rôle crucial dans une exposition sur le paysage dans l’art français entre 1500 et 1900 [9] : il y affirme qu’un premier impressionnisme s’enracine dans la tradition de la peinture de paysage sous le Second Empire, ce qui lui permet de désamorcer le caractère révolutionnaire attribué au mouvement. À la section sur « L’impressionnisme précoce » s’oppose celle sur « L’impressionnisme tardif » qu’il situe dans les années 1880 et 1890 [10]. Le premier impressionnisme correspond selon la lecture de Bernard Dorival, à la période la plus déterminante, féconde et héroïque, davantage que celle de l’impressionnisme d’après 1875.
“ Il y a eu plus d'un impressionnisme. […] Il y a un impressionnisme qui date de la fin du Second Empire ; et la Route de Monet, la Vue de Montmartre de Sisley, le Sousbois de Berthe Morisot, la Forêt de Fontainebleau de Bazille sont tous en relation étroite avec Courbet d'une part et avec Corot et Daubigny d'autre part [11]. ”

Frédéric Bazille, Forêt de Fontainebleau, 1865, huile sur toile, 60 x 73,2 cm, Don Mme Fantin-Latour 1905, Paris, musée d'Orsay. Source : Musée d'Orsay, dist. RMN-Grand Palais / Patrice Schmidt.

Camille Corot, Fontainebleau : Chênes à Bas-Bréau, 1832-1833, huile sur papier fixé sur bois, 39,7 x 49,5 cm, New York, The Metropolitan Museum of Art, Catharine Lorillard Wolfe Collection, Wolfe Fund. Source : The Metropolitan Museum, Public Domain.

Charles-François Daubigny, Les Quais de l’Oise, 1863, huile sur bois, 37,5 x 67 cm, New York, The Metropolitan Museum of Art, Bequest of Benjamin Altman. Source : The Metropolitan Museum, Public Domain.

Claude Monet, Cour de ferme en Normandie, vers 1863, huile sur toile, 42,2 x 91,5 cm, Paris, musée d’Orsay. Source : RMN-Grand Palais (musée d’Orsay) / René-Gabriel Ojéda.
L’impressionnisme face à tout ce qui le précède de près comme de loin
Cette conception du pré-impressionnisme comme phase préparatoire qui désigne les premières œuvres de Bazille, Monet, Renoir et Sisley, n’est que l’une des nombreuses acceptions que ce terme inconstant englobe progressivement. Dans leur Histoire de la peinture moderne de 1949, Jean Leymarie, Maurice Raynal et Herbert Read élargissent le pré-impressionnisme à l’école dite « de Saint-Siméon », du nom de la ferme où se retrouvent des peintres comme Boudin et Jongkind, ensuite rejoints par Monet et Bazille [12]. De nouveaux artistes sont compris dans cette catégorie, mais sans que le noyau central du groupe impressionniste n’en soit encore exclu.

Brochure de l’exposition 1874 Naissance de l’impressionnisme à la Galerie des Beaux-Arts de Bordeaux (1974). Source : Musée des Beaux-Arts de Bordeaux.
La signification du terme est ensuite plus vastement étendue à d’autres tendances pour ne plus désigner les futurs impressionnistes mais, à la place, les générations d’artistes qui leur sont antérieures. L’expression caractérise progressivement les peintres de Fontainebleau et de Barbizon, même lorsqu’ils n’ont pas expérimenté avec les impressionnistes. Lors du centenaire de l’impressionnisme en 1974, l’exposition 1874 Naissance de l’impressionnisme à la galerie des Beaux-Arts de Bordeaux [13] fait partie d’un ensemble de manifestations qui souhaitent retracer les sources du mouvement. Le catalogue propose une filiation qui s’ouvre avec Eugène Delacroix et la section « Pré-impressionnistes » est celle qui compte le plus grand nombre d’œuvres de l’exposition. Celle-ci est divisée en trois volets : l’École de Barbizon, l’École de Saint-Siméon et l’École de Provence. Y sont notamment présentées les œuvres de Théodore Rousseau, d’Eugène Boudin ou de Paul Guigou, mais non les œuvres de jeunesse de Frédéric Bazille, Claude Monet ou Auguste Renoir.

Théodore Rousseau, Lisière du bois à Monts-Girard, Forêt de Fontainebleau, 1852-1854, huile sur bois, 80 x 121,9 cm, New York, The Metropolitan Museum of Art, Catharine Lorillard Wolfe Collection, Wolfe Fund. Source : The Metropolitan Museum, Public Domain.

Paul Guigou, Paysage de Provence. Vue de Saint-Saturnin-les-Apt, 1867, huile sur bois, 27,6 x 46 cm, Paris, Petit Palais, musée des Beaux-arts de la Ville de Paris. Source : CC0 Paris Musées / Petit Palais.

Camille Pissarro, La Côte du Jallais, Pontoise, 1867, huile sur toile, 87 x 114,9 cm, New York, The Metropolitan Museum of Art, Bequest of William Church Osborn. Source : The Metropolitan Museum, Public Domain.
Le pré-impressionnisme change de sens et s’extrait de l’histoire de l’impressionnisme au moment même où la périodisation de ce mouvement est remise en question. En 1974, si le Centenaire de l’impressionnisme au Grand Palais à Paris continue de borner l’histoire du mouvement entre 1863 et 1882 [14], plusieurs autres expositions choisissent 1874 comme date de début de l’impressionnisme, imposant de nouvelles contorsions nominatives pour qualifier les années immédiatement antérieures.
Dans certains cas, le pré-impressionnisme peut même désigner l’ensemble de la peinture française du XIXe siècle avant 1874. Le campus de l’Université de Californie à Davis propose ainsi, en 1969, l’exposition Pre-impressionism 1860-1869 [15], consistant en un panorama des différentes tendances de la peinture en France sous le Second Empire, avant les expositions du groupe impressionniste. Au sein de deux galeries séparées par un étroit couloir, les œuvres d’Alexandre Cabanel, Ernest Meissonier ou Jean-Léon Gérôme, représentants d’une peinture dite « académique », sont mises en regard des œuvres d’Edgar Degas, Édouard Manet, Auguste Renoir et Camille Pissarro.
“ Qualifier de « pré-impressionnisme » une bonne moitié des paysages français du XIXe siècle, comme on l’a fait récemment, est assez factice : mais c’est une manière de reconnaître cette continuité. C’est avouer aussi qu’on part de Monet pour reconstituer tous les épisodes précédents [16]. ”

Claude Monet, Baigneurs à La Grenouillère, 1869, huile sur toile, 73 x 92 cm, Londres, National Gallery. Source : The National Gallery CC BY-NC-ND.
« Pré-impressionnistes », « Early Impressionism » et « réalisme impressionniste » : un mouvement en question et en morceaux
En 1974, Georges Pillement publie Les Pré-impressionnistes [17], un ouvrage dont l’objectif est de retracer les apparitions dans l’histoire du paysage des caractéristiques perçues alors, à tort selon l’auteur, comme des innovations impressionnistes. Son souhait avoué dès l’introduction est de déconstruire les mythes de nouveauté qui sont rattachés au mouvement, jusqu’à nier l’existence d’une « différence fondamentale entre les Impressionnistes et ceux qu[’il] nomme les Préimpressionnistes [18] ». Employée afin de démontrer la relativité des catégorisations de l’histoire de l’art, l’appellation a pour but d’attirer l’attention sur ces peintres oubliés et rejetés dans l’ombre à cause de l’engouement polarisé par l’impressionnisme.
La hiérarchie entre les catégories comme celle de l’avant-garde à laquelle appartient l’impressionnisme et celle d’un art appelé « académique » est remise en question par le courant révisionniste dès les années 1950. Le réexamen historique du mouvement incité par son centenaire va jusqu’à ébranler la pertinence du concept d’impressionnisme [19] et conteste par la même occasion les raisons de considérer un pré-impressionnisme. Douglas Cooper juge ainsi en 1975 que cette désignation est injustifiée pour qualifier les peintres de Barbizon et Jean-Paul Bouillon écrit à sa suite, en 1981, que cette « notion vague […] extensible à l’infini » cristallise « un flottement conceptuel » et « permet de couvrir les opérations commerciales les plus discutables [20] ». On retrouve en effet ce terme dans le domaine du marché de l’art, certains galeristes l’utilisant pour valoriser des peintres de paysage moins connus. Pour les musées, cette expression permet d’attirer un public friand d’art impressionniste, alors que des œuvres antérieures, moins coûteuses et moins difficiles à déplacer et à assurer peuvent être présentées.

Alfred Sisley, Lisière de la forêt de Fontainebleau, 1865, huile sur toile. Paris, Petit Palais, Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris. Source : CC0 Paris Musées / Petit Palais.
Si l’adjectif « pré-impressionniste » est critiqué, d’autres sous-catégories lui étant liées continuent de morceler l’étude historique du mouvement en de nouveaux concepts. L’appellation « Early Impressionism » réapparaît avec force dans les années 1970, à partir de la publication des Studies in Early Impressionism de Kermit S. Champa, dans lesquelles il étudie les premières œuvres de Bazille, Monet, Pissarro, Renoir et Sisley [21]. De nouvelles locutions hybrides sont inventées pour définir cet art qui échappe aux périodisations usuelles, comme « l’impressionnisme réaliste » sous la plume de Marie Berhaut, spécialiste de Gustave Caillebotte [22], ou celle de « réaliste du plein air [23] » dans le compte rendu de l’ouvrage de Kermit S. Champa que fait Joel Isaacson, lui-même auteur d’une thèse sur les premières œuvres de Claude Monet dans les années 1960.
L’impressionnisme se fait pluriel au moment où est remis en question le fondement de son exceptionnalité dans l’histoire de la peinture du XIXe siècle. Le pré-impressionnisme, en tant que catégorie et concept, participe à cette reconsidération. Parallèlement, des rétrospectives importantes réhabilitent les principaux peintres de Barbizon et de Saint-Siméon, mettant en lumière la réception historique amoindrie que celle de l’impressionnisme leur a causée. Apparaissent ainsi à travers cette historiographie du pré-impressionnisme, les mécanismes et les revers de l’historicisation du mouvement impressionniste et sa position de référence centrale par rapport à laquelle se fixe et s’écrit l’histoire des autres tendances artistiques du siècle.

Henri-Joseph Harpignies, Sapins aux Tremblaux à Marlotte, 1854, huile sur toile, 41,3 x 32,1 cm, New York, The Metropolitan Museum, Robert Lehman Collection. Source : The Metropolitan Museum, Public Domain.
[1] Gaston Poulain, « Le pré-impressionnisme », Formes, novembre 1931, 19, p. 155-156.
[2] Gaston Poulain, Bazille et ses amis, Paris, La Renaissance du livre, 1932.
[3] Ibid., p. 27.
[4] Bertrand Tillier, « L’invention française du réalisme », dans Neil McWilliam et Michela Passini (éd.), Faire l’histoire de l’art en France (1890-1950). Pratiques, écritures, enjeux, Paris, Institut national d’histoire de l’art / Strasbourg, Presses universitaires de Strasbourg, 2023, p. 316.
[5] Claude Monet, Femmes au jardin, huile sur toile, H. 285 ; L. 234,5 cm, Paris, musée d’Orsay, vers 1866.
[6] Hadrien Viraben, Le savant et le profane. Documents et monuments de l’impressionnisme (1900-1939)¸ Dijon, Les presses du réel, 2021, p.173-175.
[7] Voir par exemple : Henri Focillon, La peinture aux XIXe et XXe siècles : du réalisme à nos jours, Paris, H. Laurens, 1928.
[8] Raymond Cogniat et André Joubin (éd.), Naissance de l’impressionnisme (catalogue d’exposition : Paris, galerie Beaux-Arts,1937), Paris, Les Beaux-arts, 1937.
[9] Bernard Dorival (éd.) Catalogue of an exhibition of landscape in French art, 1550-1900 (catalogue d’exposition : Londres, 1949/1950), Londres, The Council, 1949.
[10] Ibid., p.58 et p.66. En anglais dans le texte : « Early Impressionism » et « Late Impressionism ».
[11] Ibid., p.xxvi. En anglais dans le texte : « There was more than one Impressionism. […] There is an impressionism which dates from the end of the Second Empire; and the Route of Monet, the Vue de Montmartre of Sisley, the Sousbois of Berthe Morisot, the Forêt de Fontainebleau of Bazille are all in close relation with Courbet on the one hand and with Corot et Daubigny on the other. ».
[12] Jean Leymarie (éd.), Histoire de la peinture moderne. Tome 1 : De Baudelaire à Bonard. Naissance d’une vision nouvelle, Genève, Skira, 1949, p.4. Cette conception du pré-impressionnisme se retrouve aussi dans : Jean Leymarie, L’Impressionnisme : étude biographique et critique. Tome 1 : Avant 1783, Genève, Skira, 1959 et Jean Leymarie, La peinture française : le dix-neuvième siècle, Genève, Skira, 1962.
[13] Gilberte Martin-Méry (éd.), 1874 Naissance de l’Impressionnisme (catalogue d’exposition : Bordeaux, 1974), Bordeaux, Galerie des Beaux-Arts, 1974.
[14] Hélène Adhémar et Anthony Clark (éd.), Centenaire de l’impressionnisme (catalogue d’exposition : Paris/New-York, 1974/1975), Paris, Réunion des Musées Nationaux, 1974.
[15] Joseph Armstrong Baird, Jr. (éd.), Pre-impressionism 1860-1869. A formative decade in French Art and Culture (catalogue d’exposition : Davis, 1969), Davis, University of California, 1969.
[16] Jacques Thuillier, « L’impressionnisme : une révision », Revue de l’art, 25, 1974, p. 5.
[17] André Watteau, « Préface » dans Georges Pillement, Les Pré-impressionnistes, Zoug, les Clefs du Temps, 1974, p. 9.
[18] Georges Pillement, « Introduction » dans ibid., p.20. Voir aussi : Georges Pillement, « Les pré-impressionnistes méconnus », Jardin des arts, décembre 1971, 205, p. 65-67.
[19] Jean-Paul Bouillon, « Bracquemond « impressionniste » » dans Jean d’Albis, Laurens d’Albis et Jean-Paul Bouillon (éd.), Céramique impressionniste. L’atelier Haviland de Paris-Auteuil 1873-1882 (catalogue d’exposition : Paris, 1974/1975), Paris, Société des amis de la Bibliothèque Forney, 1974, [p. 6-7].
[20] Douglas Cooper, « Le centenaire de l’impressionnisme », Revue de l’art, 1975, 28, p. 79.
[21] Kermit S. Champa, Studies in Early Impressionism, New Haven/Londres, Yale University Press, 1973 (thèse de doctorat achevée en 1965 à Yale Univeristy).
[22] Marie Berhaut, « Gustave Caillebotte et le réalisme impressionniste », L’œil, novembre 1977, 268, p. 42-49.
[23] Joel Isaacson, « [Compte rendu] Studies in Early Impressionism by Kermit Swiler Champa », The Art Bulletin, septembre 1975, 57-3, p. 452. En anglais dans le texte : « a plein-air realist ».
Elise Wehr, « Pré-impressionnisme », Impressionnisme.s [en ligne], mis en ligne le 07 Jan 2025 , consulté le 10 Feb 2025. URL: https://impressionnismes.fr/definition/pre-impressionnisme/