Berthe Morisot

Artiste
Par Marianne Mathieu
  • Naissance 14 Jan 1841, Bourges
  • Mort 02 Mars 1895, Paris
  • Nationalité Française

Berthe Morisot, Autoportrait, 1885, huile sur toile, 61 × 50 cm, Paris, musée Marmottan Monet, Legs Annie Rouart, 1993. Inv. 6022. Source : © musée Marmottan Monet

Berthe Morisot, Autoportrait, 1885, huile sur toile, 61 × 50 cm, Paris, musée Marmottan Monet, Legs Annie Rouart, 1993. Inv. 6022. Source : © musée Marmottan Monet
  • Biographie
  • Dates clés
  • Oeuvres
  • Bibliographie

Si son visage nous est familier par les nombreux portraits que Manet a réalisés d’elle, Morisot est avant une peintre majeur du groupe impressionniste, dans lequel elle tient aussi un rôle fédérateur.

Jean-Auguste Ingres, La famille Stamaty, 1818, Musée du Louvre, Paris, France. Source: RMN-Grand Palais (musée du Louvre)/ Thierry Le Mage.

Marie Pauline Berthe Morisot naît à Bourges, le 14 janvier 1841. Sa mère Marie-Cornelie Thomas (1819 – 1876) est issue d’une famille de trésoriers payeurs généraux. Son père Edme Tiburce Morisot (1806-1874) bien que formé à l’architecture se destine à la haute fonction publique. Il est successivement sous-préfet, préfet (1836-1851) puis conseiller référendaire de la cour des comptes (1855-1873). Berthe a deux sœurs : Yves (1838-1893) et Edma (1839-1921) ainsi qu’un frère Tiburce (1845-1927).

C’est en 1852 que les Morisot s’installent dans le village de Passy – future fraction du seizième arrondissement de Paris – où Berthe passera le reste de sa vie.  Issues d’un milieu aisé, les demoiselles Morisot reçoivent une éducation propre à leur rang. Elles fréquentent des cours privés réputés et prennent des leçons de musique avec Camille Marie Stamaty, chez qui Berthe aurait été, selon la mémoire familiale, marquée par un dessin d’Ingres aujourd’hui conservé au Louvre, La Famille Stamaty.

Edouard Manet, Portrait de Berthe Morisot à l'éventail, 1874, huile sur toile, 61 x 50,5 cm, Lille, Palais des Beaux-arts. Source : RMN-Grand Palais / Thierry Ollivier.

​La genèse d’une vocation : élève de Corot et modèle de Manet

Mme Morisot souhaitant offrir à son époux un dessin de ses filles, elle les inscrit en 1857 chez Alphonse Chocarne. L’aridité des cours et l’austérité du pédagogue  décourage Yves tandis qu’Edma et Berthe réclament un autre professeur. L’école des beaux-arts étant interdite aux jeunes filles jusqu’en 1897, Berthe et Edma suivent des cours particuliers. Joseph-Benoît Guichard – qui reconnaît en elles de véritables talents de peintres – les inscrit comme copiste au Louvre en 1858 et leur transmet une solide formation classique. Désireuses de travailler en plein air, les deux sœurs étudient ensuite auprès de Jean-Baptiste Camille Corot puis Achille Oudinot. En 1863, ce dernier leur présente Daubigny dont elles admirent le bateau atelier. La rencontre en 1864 avec le cousin de Delacroix, le peintre et pastelliste Léon Riesener, joue un rôle notable dans la formation de Berthe.

 

 

De 1864 à 1868, elles exposent chaque année au Salon officiel en tant qu’élèves de Corot et Oudinot. Les rares peintures de cette époque qui nous sont parvenues sont des paysages, des natures mortes, des figures en plein air qui s’inscrivent dans la lignée de l’école de Barbizon. Le portrait de Mme Lucien Boursier (coll. part.) peint par Berthe en 1867 se place tant par ses couleurs sombres et retenues que par son dessin précis et attentif aux traits du modèle dans la mouvance d’Henri Fantin-Latour et Alfred Legros.

En 1868, la rencontre d’Edouard Manet au Louvre par l’intermédiaire de Fantin-Latour est décisive. Les familles Morisot et Manet se lient et se reçoivent. Aux habitués des mardis de Mme Morisot – Corot, les frères Jules et Charles Ferry, Carolus Duran et Gioacchino Rossini – s’ajoutent les invités des jeudis de Mme Manet mère : Gustave et Eugène, les deux frères du peintre, Edgar Degas, Alfred Stevens, Zacharie Astruc, Emmanuel Chabrier et bientôt Puvis de Chavannes et Stéphane Mallarmé.

De 1869 à 1874, Berthe est l’un des modèles de Manet et pose pour dix peintures, deux estampes et une aquarelle. Alors qu’elle se lie avec les acteurs d’une nouvelle peinture, sa sœur Edma abandonne la peinture au profit d’une vie de famille. Elle se marie le 8 mars 1868 avec un capitaine de vaisseau Adolphe Pontillon et le suit à Lorient. De compagne de travail, Edma devient la muse de Berthe. Elle pose pour une suite d’aquarelles, de pastels et de peintures principalement dédiées à l’étude de figures en plein air, typiques du début de la maturité.

Berthe Morisot, The harbor at Lorient, 1869, oil on canvas, 43,5x73cm, National Gallery of Art, Washington, United-States. Source: National Gallery of Art, public domain.

Berthe Morisot, Le Berceau, 1872, huile sur toile, 56 x 46,5 cm, Paris, musée d'Orsay. Source : RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Michel Urtado

Première exposition impressionniste

Vers 1870, le travail de Morisot gagne en singularité et suscite l’admiration de Manet et Degas. S’inscrivant dans le champ de la modernité baudelairienne [1], Morisot immortalise la Parisienne et aborde les thèmes de l’intimité familiale et de la maternité. L’attention portée aux accessoires est caractéristique de la période. Eventails, ombrelles, chapeaux, rubans l’aident à camper des compositions minutieusement étudiées, basées sur de subtiles correspondances formelles et chromatiques. De cette période datent Femme et enfant au balcon (1872, Tokyo, Ishibashi), Le Berceau (1872, musée d’Orsay) et Les Lilas à Maurecourt (coll. part.) La comparaison des portraits qu’elle exécute de sa cousine Mme Lucien Boursier en 1867 et 1874 [2] permet de prendre la mesure de son évolution.

Comme beaucoup de ses frères d’armes de la nouvelle peinture, Morisot est refusée au Salon en 1874. À l’invitation de Degas, elle participe, cette même année, à la première exposition de la Société anonyme coopérative de peintres, sculpteurs…etc. organisée dans les anciens ateliers de Nadar. Seule femme du groupe, cette participation lui vaut le titre de première femme impressionniste.

Le 22 décembre 1874, elle épouse Eugène Manet et intègre un milieu aussi bourgeois qu’artiste – cette double caractéristique lui permettant de s’adonner sans restriction à son art. Rentière, libérée des contraintes commerciales, Morisot continue d’exposer après son mariage sous son nom de jeune fille, menant une carrière en marge des milieux officiels au service d’une œuvre exigeante et, à bien des égards, radicale.

Berthe Morisot, Femme et enfant au balcon, 1872, huile sur toile, 60x51 cm, Ishibashi Foundation, Japon. Source: Wikipédia, domaine public.

Berthe Morisot, Femme à l’éventail ou Au bal, 1875, huile sur toile, 62 × 52 cm, Paris, musée Marmottan Monet, Don Eugène et Victorine Donop de Monchy, 1940, Inv. 4020. Source : © musée Marmottan Monet

Berthe Morisot, Eugène Manet à l’île de Wight, 1875, huile sur toile, 38 × 46 cm, Paris, musée Marmottan Monet, Legs Annie Rouart, 1993. Inv. 6029. SOurce : © musée Marmottan Monet.

Dès 1874, Morisot scelle son destin artistique à celui des Impressionnistes. Elle renonce définitivement au Salon parisien, organise à l’hôtel Drouot avec Renoir, Monet et Sisley une vente aux enchères de leurs œuvres le 24 mars 1875 et participe, entre 1874 et 1886, à sept des huit expositions initiées par le groupe, contribuant au financement des 7e et 8e expositions.

Durant cette période, elle fait constamment évoluer son œuvre. Vers 1875, elle abandonne les couleurs sourdes au profit d’une dominante de blancs argentins, vivifiée par des notations de rouge, de jaune et de bleu et quelques pointes de noir – pour le contraste (Eugène Manet à l’île de Wight – 1875, musée Marmottan Monet ; Jeune femme arrosant un arbuste – 1876, Richmond, Virginia Museum of Arts). Vers 1880, le sombre disparaît complètement. La gamme chromatique de Morisot – caractéristique de l’impressionnisme triomphant – se définit alors par des teintes pastel : vert tendre, rose, bleu et jaune (Après le déjeuner – 1881, coll. part. ou La Fable  – 1883, coll. part.). La facture se libère, la touche devient de plus en plus lisible, certaines parties de ses toiles restent volontairement apparentes.

Berthe Morisot, Young Woman Watering a Shrub, 1876, oil on canvas, 40.01 × 31.75 cm, Collection of Mr. and Mrs. Paul Mellon, Virginia Museum of Fine Arts, Richmond. Source: VMFA, CC0.

L’ange de l’inachevé ?

« Mme Morizot est l’ange de l’inachevé [3]» note un commentateur. Cette manière enlevée lui vaut d’être comparée dès 1880 à Jean-Honoré Fragonard [4], bien qu’elle préfère copier François Boucher.  L’impressionniste est louée (ou critiquée) pour ses « improvisations » autour du thème de l’enfance dont sa fille unique Julie Manet, née le 14 novembre 1878, est le modèle de prédilection. L’artiste multiplie aussi les portraits de jeunes-filles en fleurs posant au bois de Boulogne, dans son jardin, en robe de bal ou à la toilette. Au fil des commentaires [5], un portrait de Morisot semble se dessiner : elle serait le peintre de la « Femme », puisant dans son quotidien le thème de ses tableaux et produisant une œuvre virtuose et désinvolte.

​L’œuvre de l’impressionniste est toutefois plus complexe. Les sujets qu’elle aborde sont à la fois authentiques et artificiels. Morisot produit de vraies-fausses scènes de la vie moderne. Elles sont vraies en ce qu’elles représentent les contemporaines de l’artiste et a fortiori son entourage ; elles sont vraies en ce que Morisot peint chez elle (dans son jardin, dans salon-atelier, dans sa chambre à coucher) ; elles sont vraies encore parce qu’elles n’ont d’autres sujets que ceux tirés du quotidien.

Berthe Morisot, Dame au manchon, 1880, huile sur toile, 74,93x61,6cm, Dallas Museum of Art. Source: Dallas Museum of Art.

Mais elles sont tout aussi fausses car résultant d’une mise en scène aussi simple qu’artificielle. Certains des vêtements de l’artiste (la robe de bal noire dans laquelle elle est photographiée en 1874, la veste marron qu’elle arbore fièrement dans son Autoportrait – 1885, Paris, musée Marmottan Monet) font office de costumes dont elle affuble ses modèles au gré des circonstances (on retrouve sa robe dans Avant le théâtre (1875, Tokyo, National Museum of Western Art) ;  Le Corsage noir (1878, Dublin, National Gallery of Ireland) et sa veste dans Dame au manchon (1880, Dallas Museum of Art) et Jeune fille au chien (1887, coll. part.)). Morisot emprunte à la domus jusqu’à ses effets personnels pour fixer la scénographie de ses tableaux qui abordés sous cet angle se situent bien au-delà du réel, évoquant un théâtre sans théâtralité.

Il en va de même pour sa facture enlevée. Elle n’est pas la conséquence mécanique du peindre vite. Certes Morisot peut exécuter plus d’une toile en une semaine comme le note son époux [6].  Mais l’image d’une artiste peignant sur le motif – a fortiori en plein air – jetant, en l’espace d’une séance, ses impressions sur une toile qu’elle exposera en l’état est pur fantasme [7]. L’œuvre de Morisot n’est pas une improvisation et l’artiste n’a pas pour habitude d’aborder la peinture tout de go. Entre 1872 et 1885, elle privilégie les aquarelles préparatoires saisies sur le motif avant d’entreprendre ses peintures, très souvent en intérieur, d’après un schéma directeur préétabli et posé sur le papier. Ainsi l’aspect esquissé de ses œuvres ne traduit ni l’urgence ni un manque de savoir-faire, ce qui horripile la critique [8]. Il est le reflet d’une intention artistique. Le sentiment d’improvisation et de spontanéité, l’impression d’inachevé savamment pensée rendent compte en définitive des vibrations de l’instant, du souffle de la vie et ont vocation, pour reprendre les mots de l’artiste, à « fixer quelque chose de ce qui passe [9]».  Autant de ressources que Morisot utilise pour peindre l’éphémère et par le biais desquelles elle interroge et redéfinit la notion d’œuvre achevée.

Berthe Morisot, Le Cerisier, commencé en 1891, huile sur toile, 154 × 84 cm, Paris, musée Marmottan Monet, Legs Annie Rouart, 1993. Inv. 6020. Source : © musée Marmottan Monet

​Mallarmé, Degas, Renoir : une famille impressionniste

A la mort d’Edouard Manet, Morisot se lie d’amitié avec ses collègues impressionnistes ainsi qu’avec Mallarmé, qu’elle institue subrogé tuteur de sa fille, Julie, en 1888 [10]. Morisot reçoit les jeudis dans son salon-atelier de l’immeuble qu’elle et son mari ont fait construire, 40 rue de Villejust (actuelle rue Paul Valéry) dans le seizième arrondissement. Mallarmé, Renoir, Degas, Monet sont les habitués et constituent dès lors une famille de cœur. En 1887, Mallarmé qui souhaite publier un recueil de poèmes en prose Le Tiroir de Laque, lui demande d’illustrer Le Nénuphar blanc.  Si le projet n’est pas mené à terme, il offre à Morisot l’occasion de s’initier à la pointe sèche et de renouer avec une discipline dans laquelle elle excelle : le dessin. Côté peinture, elle entreprend des compositions d’un type nouveau : plus complexes car impliquant l’interaction de personnages. Dorénavant, ses figures ne se font plus face mais elles se croisent : un détail qui implique d’ajuster les positions de l’une et les gestes de l’autre, et – en ce qui concerne Morisot – d’étudier plusieurs options jusqu’à trouver la bonne. Les dessins préparatoires (sur calque ou sur papier, utilisant la sanguine, la mine de plomb, les crayons de couleurs, l’aquarelle et le pastel) jouent un rôle clé dans son modus operandi. Morisot travaille à présent dans un temps encore plus long, ses recherches pouvant s’étaler sur plus d’un an et les versions d’une même œuvre se multiplier. Le piano (1880, coll. part.) et Le Cerisier [11] pour lesquels posent sa fille Julie et sa nièce Jeannie illustrent cette évolution.

A l’issue de l’aventure impressionniste, Morisot expose peu. Son travail est présenté dans des expositions collectives. Cooptée par Monet en 1887, elle participe à l’exposition Internationale chez Georges Petit à Paris. Paule Gobillard en robe de bal (1887, coll. part.) est conçue pour l’occasion [12]. Elle est également présente à Londres (1883 et 1887), à New York (1887-1888) dans des manifestations initiées par Durand-Ruel, à Bruxelles à l’exposition des XX (1887) puis à la Libre Esthétique (1894) et à Anvers (1893), mais toujours représentée par un nombre très limité de tableaux. En 1892, une exposition Berthe Morisot est présentée à la Galerie Boussod et Valadon, peu après le décès de son époux qui en avait été l’artisan. Il s’agit de la seule exposition personnelle jamais consacrée à l’artiste de son vivant. Admirée par ses pairs, collectionnée par Manet, Degas, Mallarmé, Renoir, Cassatt et par les premiers amateurs de l’impressionnisme : G. de Bellio, P. Bérard, T. Duret, E. Chausson, C. Éphrussi, P. Gallimard, E. Hoschedé, E. Houssaye, H.  Vever, T. Hayashi, l’œuvre de Morisot séduit un cercle aussi restreint que choisi et circule peu. L’acquisition par l’État de Jeune Femme au bal en 1894 (1879, Paris , musée d’Orsay) vise à combler son absence du legs Caillebotte – qui marque l’entrée de l’impressionnisme dans les collections nationales. Lorsque Morisot meurt subitement d’une congestion pulmonaire, à l’âge de 54 ans, le 2 mars 1895, son œuvre conséquente (on recense 423 peintures et autant d’aquarelles et de pastels) est donc encore confidentielle. Trois cent quatre-vingts numéros sont révélés à l’occasion d’une exposition posthume organisée en mars 1896 par Mallarmé, Monet, Renoir, Degas et la fille de l’artiste.  Il appartiendra à cette dernière d’assurer à l’avenir la promotion de l’œuvre de sa mère et de la faire entrer dans l’histoire [13].

Berthe Morisot, Rêveuse, 1877, pastel sur toile, 50.17 x 60.96 cm, Kansas city, Nelson Atkins museum of Art. Source : https://nelson-atkins.org/

Berthe Morisot, Femme à sa toilette, huile sur toile, 1870–1880, 60.3 × 80.4 cm, Chicago, Art

Berthe Morisot, Jeune femme en toilette de bal, 1879, huile sur toile, 71x54cm, Musée d'Orsay, Paris. Source: RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski

[1] Baudelaire est considéré comme le chantre de la modernité par les thèmes qu’il aborde et les innovations qu’il introduit dans la forme de ses poèmes.
[2] Portrait de Mme Léon Boursier et sa fille, 1874, huile sur toile, 74 x 52 cm, Brooklyn Art Museum.
[3] L’Europe artiste, 1880.
[4]  Marianne Mathieu (dir), Berthe Morisot et l’art du XVIIIè siècle, 2024, Hazan.
[5] Hugues Wilhem et Sylvie Patry (dir), Berthe Morisot, 2002, éditions Réunions des Musées Nationaux, p. 63-87.
[6] Johanne Lindskog et Marianne Mathieu (dir), Berthe Morisot à Nice, 2024, Electa, Lettre 13, p. 201.
[7] Johanne Lindskog et Marianne Mathieu (dir), Berthe Morisot à Nice, 2024, Electa ; voir aussi les écrits de Bill Scott.
[8] Hugues Wilhem et Sylvie Patry (dir), Berthe Morisot, 2002, éditions Réunions des Musées Nationaux, p. 63-87.
[9] Berthe Morisot, carnet noir, 1890, Paris, musée Marmottan Monet.
[10] Marianne Mathieu (dir.), Julie Manet, La mémoire impressionniste, 2021, Paris, Hazan, p. 26.
[11] Berthe Morisot, Le cerisier, 1891, huile sur toile, 146, 5 x 89 cm, collection particulière ; Berthe Morisot, Le cerisier, 1891, huile sur toile, 154 x 80 cm, Paris, musée Marmottan Monet.
[12] Lettre de Berthe Morisot à Paule Gobillard, avant le 8 mai 1887, Paris, musée Marmottan Monet, inv. D. 4-1986.2013.11.
[13]Marianne Mathieu (dir.),  Julie Manet, La mémoire impressionniste, 2021, Paris, Hazan.

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Pour citer cet article

Marianne Mathieu, « Berthe Morisot », Impressionnisme.s [en ligne], mis en ligne le 27 Jan 2025 , consulté le 10 Feb 2025. URL: https://impressionnismes.fr/personalite/berthe-morisot/

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Dates clés

Œuvres de l’artiste

Découvrez les oeuvres de Berthe Morisot

Découvrez la bibliographie

  • Berthe Morisot, Denis Rouart (éd.)

    Correspondance de Berthe Morisot avec sa famille et ses amis, Manet, Puvis de Chavannes, Degas, Monet, Renoir et Mallarmé. Documents réunis et présentés par Denis Rouart

    Paris, Quatre Chemins-Editart, 1950

  • Alain Clairet, Delphine Montalant, Yves Rouart (éds.)

    Berthe Morisot, catalogue raisonné de l’œuvre peint

    CNRS éditions, 1997

  • Marianne Mathieu

    Berthe Morisot en 15 questions

    éditions Hazan, 2019

Jean-Auguste Ingres, La famille Stamaty, 1818, Musée du Louvre, Paris, France. Source: RMN-Grand Palais (musée du Louvre)/ Thierry Le Mage.
Edouard Manet, Portrait de Berthe Morisot à l'éventail, 1874, huile sur toile, 61 x 50,5 cm, Lille, Palais des Beaux-arts. Source : RMN-Grand Palais / Thierry Ollivier.
Berthe Morisot, The harbor at Lorient, 1869, oil on canvas, 43,5x73cm, National Gallery of Art, Washington, United-States. Source: National Gallery of Art, public domain.
Berthe Morisot, Le Berceau, 1872, huile sur toile, 56 x 46,5 cm, Paris, musée d'Orsay. Source : RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Michel Urtado
Berthe Morisot, Femme et enfant au balcon, 1872, huile sur toile, 60x51 cm, Ishibashi Foundation, Japon. Source: Wikipédia, domaine public.
Berthe Morisot, Femme à l’éventail ou Au bal, 1875, huile sur toile, 62 × 52 cm, Paris, musée Marmottan Monet, Don Eugène et Victorine Donop de Monchy, 1940, Inv. 4020. Source : © musée Marmottan Monet
Berthe Morisot, Eugène Manet à l’île de Wight, 1875, huile sur toile, 38 × 46 cm, Paris, musée Marmottan Monet, Legs Annie Rouart, 1993. Inv. 6029. SOurce : © musée Marmottan Monet.
Berthe Morisot, Young Woman Watering a Shrub, 1876, oil on canvas, 40.01 × 31.75 cm, Collection of Mr. and Mrs. Paul Mellon, Virginia Museum of Fine Arts, Richmond. Source: VMFA, CC0.
Berthe Morisot, Dame au manchon, 1880, huile sur toile, 74,93x61,6cm, Dallas Museum of Art. Source: Dallas Museum of Art.
Berthe Morisot, Le Cerisier, commencé en 1891, huile sur toile, 154 × 84 cm, Paris, musée Marmottan Monet, Legs Annie Rouart, 1993. Inv. 6020. Source : © musée Marmottan Monet
Berthe Morisot, Rêveuse, 1877, pastel sur toile, 50.17 x 60.96 cm, Kansas city, Nelson Atkins museum of Art. Source : https://nelson-atkins.org/
Berthe Morisot, Femme à sa toilette, huile sur toile, 1870–1880, 60.3 × 80.4 cm, Chicago, Art
Berthe Morisot, Jeune femme en toilette de bal, 1879, huile sur toile, 71x54cm, Musée d'Orsay, Paris. Source: RMN-Grand Palais (musée d'Orsay) / Hervé Lewandowski